Les vers de terre sont considérés comme perturbateurs dans les écosystèmes naturels du Québec, principalement parce qu’ils accélèrent le cycle des matières organiques et la disparition des litières. Pour ces mêmes raisons qui augmentent les rendements et la qualité des sols, leur présence est considérée essentielle dans les agroécosystèmes, qui sont tout sauf naturels.