Suite sur les recherches allemandes présentées par Miriam Athmann à l’équipe du CETAB+ à l’initiative de Dr Caroline Halde de l’Université Laval. On voit une photo d’une coupe horizontale de sol à 45 cm de profondeur avec des biopores créés par la combinaison racines profondes et vers de terre.
Beaucoup de vers en surface sous les plastiques. Et beaucoup de limaces. Sous le paillis permanent (depuis 5 ans) de feuilles et paille d'herbe du Soudan, moins de vers en surface que sous les plastiques, mais dans environ 12 cm x 12 cm x 12 cm, on voit 30-40 vers endogés.
On trouve à vendre des vers à compost ou à fumier, principalement Esenia fetida, ainsi que E. andrei et E. hortensis, mais aussi d'autres espèces. Les trois premiers survivent à l'hiver au Québec. Ce sont des épigés qui vivent dans des matières organiques en décomposition, mais qui sont inadaptés à la vie dans le sol. Il ne faut pas les acheter pour tenter de les introduire dans un but d'amélioration du sol. Mais on peut en ajouter dans un compost pas trop chaud. (< 26° C)